Égypte: Pour le président le démographie et la cause des crises économique

Presse-Net

Le président égyptien Abdel Fattah El-Sissi déclare que la crise que traverse l’Égypte est due à « la croissance démographique, et non à la corruption au sein du gouvernement ou à la corruption dans l’appareil administratif », affirmant que « les régions de la Haute-Égypte (sud) n’étaient pas délaissés par l’Etat, mais ce dernier n’avait pas la capacité d’atteindre les rythmes de développement requis.
Et le président égyptien ajoute, qu’« il n’y a pas de marginalisation du développement en Égypte, mais la vraie crise réside dans l’augmentation de la population ».

Et de poursuivre :  » Nous devons croire en nos rêves et avoir la certitude de pouvoir les mettre en œuvre et de les transformer en réalité tangible en soutenant les idées et les projets de la jeunesse. Les projets que l’État met en œuvre au stade actuel sont le résultat de changer le cours de la pensée, parce que nous n’avons rien d’autre qu’un rêve, une idée, du travail et de la diligence pour y parvenir. »

Il a poursuivi en disant : « Le réseau routier et les axes (ponts) sont parmi les priorités les plus importantes pour développer les infrastructures de base de l’État, et nous avons besoin de 70 000 milliards de livres (le dollar = 27,25 livres) pour réaliser un développement. boom à la mesure des capacités et des besoins des Égyptiens. Le gouvernement vise à combler les lacunes et à atteindre les objectifs. les.
Il a poursuivi :  » La route est encore longue devant nous. »

Il a poursuivi : « Nous devons respecter l’esprit de chacun, être objectifs et honnêtes dans notre appréciation et notre évaluation de notre réalité, et savoir pourquoi nous vivons dans cette réalité ? Je suis très enthousiaste à l’idée d’essayer de développer la pensée et de rechercher des voies non conventionnelles.

Il a ajouté : « Créer 200 000 nouveaux logements nécessite d’économiser environ 140 milliards d’EGP. Je suis très bien les commentaires qui se font sur les réseaux sociaux et les appels de certains à arrêter les dépenses de l’État dans les projets routiers et à donner la priorité à l’éducation ou à la santé. . Ma réponse est que l’infrastructure est la chose la plus importante.  » Dans le pays, et le réseau routier que nous construisons pour vous connecter et vous nous rejoindre. «