Mondialisation et pauvreté
Bassam Tayara
La dynamique de la mondialisation arrive vers sa fin. La globalisation devait être un moyen pour faciliter les échanges et promouvoir le commerce dans le « village-monde » et de de diffuser la connaissance ce qui devait se traduire par une égalité des chances entre la majeur partie de la population mondiale.
Or ce n’est pas le cas! Car la connaissance ne peut être « distribuée » comme un vulgaire produit. La connaissance doit être acquise sur le long terme, sur un laps de temps durant lequel les moyens de cette acquisition devraient être disponible.
Or ce ne fut pas le cas.
La solution? c’est dans la répartition de connaissances et des moyens: Être écologiste n’est PAS uniquement monter à vélo et pourchasser les bouses de vache ou interdire ici et là de planter « ce genre d’arbre » … Mais plutôt atténuer les effets de la mondialisation sur les Pays du Sud. C’est également brider l’avidité des grands groupes qui s’appuyant sur des aides d’États inondent les marchés des Pays du Sud avec une production massive qui rend toute tentative de « produire localement » absurde économiquement …Les citoyens de beaucoup de pays n’ont plus de … poulaillers … car une poule importée … coûte moins cher que si cette POULE caquette et picore dans l’arrière maison..
La mondialisation a introduit des comportements « NON-écologique.s » qui nuisent à la santé des populations (Nord et Sud) qui nuisent à la terre (Agriculture intensive dans le Nord …des surfaces abandonnées et laissées en friche dans le Sud) qui nuisent à l’équilibre démographique de la planète (dans le Nord problèmes immigration; dans le Sud fuite des cerveaux et des forces de travail…)…